Nos prises de position

Home / Nos prises de position

Nos prises de position

Le respect de la vie

La souffrance humaine équivalente à la souffrance animale

Ceux qui font souffrir les animaux peuvent aussi faire  souffrir des Hommes. L’histoire et les faits divers l’ont prouvé à maintes reprises. Au département santé publique (en liaison avec l’Institut d’Ethopsychologie) de l’Université Pierre et Marie Curie (Paris IV), des chercheurs ont analysé ce problème sous l’intitulé :  » Causes et conséquences du comportement violent sur l’homme et l’animal « . Un diplôme universitaire a même été créé à partir de l’année 1985-1986. Au sein de l’A.R.P.A. de nombreux adhérants militent également dans des actions humanitaires.

En fait, la compassion envers les humains et celle qu’on éprouve pour les animaux sont indissociables.

D’autre part, les militants de la protection animale, les cardiologues, les diététiciens et les militants des organisations humanitaires sont unanimes pour demander la réduction de la consommation carnée dans les pays industriels. Cette consommation actuelle engendre des maladies cardio-vasculaires dans nos pays industrialisés. De plus, pour nourrir ce bétail nous importons de grandes quantités de protéines végétales des pays du Tiers Monde qui font défaut aux habitant de ces pays. Il était dit dans un rapport présenté à Manille en 1976 par le président de la Banque Mondiale :  » dans les pays les plus démunis du Tiers Monde, l’alimentation de millions d’enfants est si pauvre en protéine que leur cerveau est endommagé « .

 » La souffrance de l’homme et tout particulièrement de l’enfant du Tiers-Monde est liée directement à la souffrance de l’animal. C’est en exigeant qu’on mette fin par des lois appropriées à l’élevage industriel des animaux et en demandant le retour à l’élevage traditionnel que nous travaillerons aussi pour les enfants du Tiers-Monde.  » Alfred KASTLER (Prix nobel, membre de l’Académie des Sciences, Co-Fondateur et ancien Président de la ligue Française des Droits de l’Animal)

Un Statut juridique spécifique à l’animal

La création d’un secrétariat d’Etat à la condition animale

Mobilisation de l’ensemble des associations de protection animale

La dénonciation du système actuel des fourrières

L’arrêt de l’expérimentation animale

Autres prise de positions :